L'incident de Malte

Juste en-dessous de la pointe sud de l'Italie, dans la partie la plus occidentale de la mer Méditerranéenne, se trouve l'île de Malte. Malte fut dans le passé la possession de nombreuses nationalités, et fut considérée comme l'un des points les plus stratégiques de toute la terre, port et point d'intersection entre l'Europe, l'Asie, le Moyen-Orient, l'Afrique, etc. Cette île de 15 km de long fut l'ancien centre de la civilisation à l'époque où les Phéniciens de Carthage l'envahirent et commençèrent à la diriger. Lorsqu'un groupe d'anciens prêtres adorant le "dieu" Moloch (un autre nom pour Baal, Osiris, ou Nimrod - considéré par les ancient comme étant le "dieu soleil") visita l'île à l'époque de l'Ancien Testament, les insulaires acceptèrent promptement leurs enseignements, y compris ceux consistant à offrir des sacrifices humains afin d'apaiser leur "dieu" Moloch, parce que les anciens Maltais eux-mêmes pratiquaient le sacrifice du sang humain en offrande aux "dieux" du monde souterrain dont ils pensaient qu'ils existaient sous l'île-même et ailleurs, divinités ainsi appelées qui furent souvent identifiées aux "serpents". L'apôtre Paul, lorsqu'il visita l'île comme cela est relaté dans le chapitre 28 du livre des s1[acts], pris connaissance des croyances superstitieuses à propos des serpents après avoir été mordu par l'une des bêtes de l'île (appelée Melita à l'époque) et survecu grâce au pouvoir de Jésus ressuscité - un Dieu dont les Maltais ne connaissaient rien avant la visite prophétique de Paul.

Depuis l'époque des Carthaginois, Malta a connu de nombreux dirigeants — Romains, Arabes, Normands, Argoniens, Castillans, les [Hospitalers] ou l'Ordre de St. John de Jérusalem, connus plus tard sous le nom de Chevaliers de Rhodes, et encore plus tard comme les Chevaliers de Malte, qui y sont toujours aujourd'hui, possédant un autre siège à Rome. A quelques kilomètres de la ville de Valleta, à Malte, se trouve le petit village de Casal Paula. En l'an 1902, des ouvriers qui creusaient un puits tombèrent littéralement dans la terre. Ce qu'ils découvrirent (ou plutôt re-découvrirent) était une série d'anciennes caves, dont la plupart étaient taillées directement dans la roche, qui descendait dans la terre et sur trois niveaux inférieurs. Ces catacombes sur plusieurs niveaux dévinrent connues sous le nom de "Hypogeum de Hal Saflienti", nom de la rue sous laquelle il les découvrirent. Hypogeum est le nom Latin désignant une structure souterraine.

Près du sol de la dernière chambre, au 3ᵉ et dernier (officiellement reconnu) niveau de ces anciennes catacombes, se trouvent certaines "chambres mortuaires" comme on les appelle. Elle n'offrent qu'une surface de quelques mètres carrés à peine, sont situées à même le sol, et l'on doit se mettre à genoux, se serait-ce que pour regarder à l'intérieur. Ces "chambres mortuaires" sont juste assez larges pour que quelqu'un puisse y ramper. Il circule depuis des années des rumeurs suggérant que l'une de ces "chambres mortuaires" ne finit pas, mais continue bien au-delà, vers d'autres cavernes plus profondes et inexplorées.

Ceci, d'après certaines sources, fut le passage souterrain et la chambre qui furent décrits il y a des années dans un article paru dans le numéro d'Août 1940 du magazine National Geographic. L'article en question indiquait ce qui suit à propos de diverses personnes ayant disparu dans ces catacombes sans laisser de traces :

De nombreux passages souterrains, y compris d'anciennes catacombes, font aujourd'hui partie des fortifications et du système de défense de l'île. Des vivres sont conservés dans de nombreux tunnels ; d'autres sont des abris contre les bombes. Certaines des zones souterraines situées sous Valletta servirent de résidence pour les pauvres. Des hommes préhistoriques construisirent des temples et des chambres dans ces souterrains. Dans une fosse située près d'un autel reposent des milliers de squelettes humains. Il y a des années, il était possible d'aller d'un bout à l'autre de Malte par ces souterrains. Le gouvernement ferma les entrées de ces tunnels après que des écoliers et leurs enseignants en voyage d'étude se perdent dans le labyrinthe et ne reviennent jamais.

L'histoire est en fait plus "importante" que le National Geographic ne l'indique. D'autres sources indiquent que près de 30 enfants disparurent dans ces catacombes lors de ce voyage d'étude, et que lors de la découverte initiale de l'"Hypogeum" furent également découverts près de 30 000 squelettes d'hommes, de femmes et d'enfants (victimes de l'ancien sacrifice aux "dieux du monde souterrain" perpétré par un ancienne race néolithique).

Un article écrit par Miss Lois Jessup, à l'époque employée de l'ambassade Britannique et plus tard secrétaire du NYSIB, paru dans un vieux numéro du magazine Science Frontière (Borderland Science) de Riley Crabb's, publié par la BSRF et plus tard repris dans son intégralité dans le livre du Dr. Allen "Enigma Fantastique".

Miss Jessup déclara avoir visité Malte et l'Hypogée, une première fois avant la tragique disparition des enfants, et une autre fois peu après. Elle décrivit comment, lors de sa première visite des catacombes, elle convainquit le guide de la laisser examiner l'une des fameuses "chambres mortuaires" près du sol de la dernière chambre dans le troisième soubassement, la "fin" supposée de la visite de l'Hypogeum. Il semblait savoir quelque chose qu'elle ignorait, mais consentit finalement à lui dire qu'elle pouvait entrer "à ses propres risques". Ce fut ce qu'elle fit, bougie à la main et sa ceinture défaite utilisée comme corde de guide pour ses amis qui la suivaient, rampant dans le mince passage pour finalement déboucher dans une grande carverne, où elle se trouvait sur une plate-forme surplombant un abîme très profond, paraissant sans fin. Plus bas et de l'autre côté de l'abîme se trouvait une autre plate-forme semblant donner sur une porte ou un tunnel s'enfonçant dans le mur opposé. Nous réalisons que ce qui survint ensuite pourrait sembler incroyable à beaucoup de lecteurs, mais nous leur demandons de se faire leur propre idée de sa véracité. Miss Jessup jure que ce qui suit s'est réellement passé.

De ce tunnel inférieur situé de l'autre côté de l'abîme, déclare-t-elle, surgirent en file indienne quelques très grandes créatures de forme humanoïde, mais totalement recouverte de poils de la tête aux pieds. L'apercevant, elles levèrent leurs armes en sa direction, [palms out], à tel point qu'un "vent" violent se mit à souffler dans la caverne, soufflant sa bougie. Une "chose" humide et rampante (apparemment une créature de différente sorte) la frôla alors. Tout ceci se passa au moment où la personne qui la suivait commençait à émerger depuis le passage dans la caverne. Ils ne purent comprendre ses tentatives paniquées pour rejoindre le passage et regagner la chambre de l"Hypogeum", mais y consentirent après son insistance. Lorsqu'ils se retrouvèrent tous dans la chambre de l'Hypogeum, le guide vit son expression et la regarda d'un air "entendu". Environ une semaine après la disparition des enfants et de leur(s) enseignant(s), elle vit lors de sa seconde visite un tout nouveau guide qui nia que l'autre guide ait jamais travaillé ici, bien qu'elle su que ce guide-ci cachait quelque chose.

Elle apprit d'autres sources plus coopératives cependant, que ceci était le tunnel que les enfants, leur(s) enseignant(s) et probablement l'ancien guide, avaient emprunté. Elle apprit également qu'après que le dernier enfant y ait pénétré, les murs du petit tunnel se refermèrent ou s'effondrèrent. Bien que la version officielle établisse que les murs s'étaient écroulés sur les étudiants, les équipes de recherche ne furent jamais capables de trouver la moindre trace de l'(ou des) enseignant(s) ou des enfants, bien que la corde qu'ils avaient utilisée pour s'attacher à la plus basse des chambres de l'Hypogée fut retrouvée nettement coupée, comme par quelque chose de tranchant (pas un roc tombant). Il fut prétendu que, durant les semaines qui suivirent, les gémissements et cris des enfants furent entendus sous terre en différents endroits de l'île, sans que personne ne parvienne à localiser l'origine de ces cris. Comme pour les catacombes sous Malte, il existe d'anciens récits stipulant que de profondes cavernes sous l'île se prolongent sous terre au-delà des rivages, et d'après une source, qu'une partie de ce labyrinthe s'étend sur des centaines de kilomètres au nord et possède des intersections avec les catacombes de Rome (la colline Vaticanus ?) ou que cela fut du moins le cas à une certaine époque.

Il existe en fait tellement de récits documentés suggérant l'existence de telles vastes régions caverneuses se déploient dans les régions infernales de cette planète, ou du moins que la question doive être considérée. Si une telle région existe, on peut alors se demander : Pourquoi son existence a-t-elle échappé à ceux de la surface durant si longtemps ? Une réponse possible à cette question pourrait être que, si une telle région existe, et qu'elle est au moins habitée en partie par des créatures physiques en intelligence et en communication avec des anges déchus ou des entités démoniaques, ces êtres non-physiques auraient alors beaucoup à perdre si existence de ces cavernes venait à être largement connue, comme l'auraient également leurs alliés reptiliens. Il existe de nombreux cas où ceux qui ont essayé de découvrir ce qui se passait sous le sol (ou qui ont effectué certaines rencontres, ou ont acquis certaines connaissances sur ces régions infernales, ou ont tenté de rechercher des récits hors de la protection ou de la gouverne divine de Dieu Tout-Puissant) ont eut à souffrir d'attaques spirituelles ou psychiques et d'oppression, parfois au point d'être conduit à la folie, ou d'adopter une attitude absente de manière irreversible. Certains sont aussi apparemment morts en de mystérieuses circonstances ou furent poussés au suicide. Quelque chose se trame réellement "sous nos pieds" avec certaines entités particulièrement malveillantes qui ne veulent pas que nous en prenions connaissance.

Nous sommes convaincus cependant que, si l'on ne souhaite pas laisser à Dieu, par le Christ, guider et diriger nos recherches dans cette zone, alors nous ferions mieux de laisser tout cela de côté. Nous connaissons trop de gens ayant essayé de fouiller ce sujet hors de la grâce de Dieu et ayant été détruits aussi bien mentalement que physiquement pour tout résultat. De plus, plus nous pourrons travailler ensemble dans un seul et même effort pour nous défendre contre cette menace "extra-terrestre", mieux nous serons individuellement.

Il existe, à côté de l'incident de Malte, de nombreux autres récits suggérant que des centaines, si ce n'est des milliers de personnes ont disparu sans laisser de traces à l'intérieur ou aux alentours de cavernes inexplorées en différents endroits du monde. Comme nous l'avons dit, ces régions "infernales" représentent l'origine la plus probable de la majorité du phénomène connu comme celui des "ovnis". Nombreux de ces appareils ont été observés entrant et sortant de cavernes ou d'ouvertures dans des montagnes éloignées, canyons, etc. Il existe des cas repertoriés où des êtres "extra-terrestres" à l'apparence de reptiles tels que ceux décrits par les témoins de rencontres avec des ovnis ont été observés dans des cavernes et des renfoncements souterrains naturels ou artificiels. Ces rapports sont relativement peu nombreux, mais ils existent. Il est concevable que le peu de gens ayant jamais fait de telles rencontres n'aient jamais eu l'occasion d'en revenir pour en parler. Ces créatures sont souvent décrites comme étant semblables aux "occupants d'ovnis" observés par l'officier de police et patrouilleur Herb Shermer. Shermer décrivit ces créatures qu'il jura avoir rencontrées à l'extérieur de Ashland, dans le Nebraska, peu après minuit, le dimanche 3 décembre 1967 :

Ils mesuraient entre 1,40 m et 1,70 m de haut. Leurs uniformes étaient gris argenté, très brillant. Leurs combinaisons leur montait jusqu'à la tête comme un capuchon de pilote. Une petite antenne se trouvait sur la partie droite de leur casque, juste au-dessus de l'endroit où devrait se trouver l'oreille. Leur poitrine était plus grosse que la nôtre, ils étaient de constitution très fine et très musclée. Leurs yeux fut une chose que je n'oublierai jamais... la pupille allait de haut en bas comme une fente. Lorsqu'ils me regardèrent ils me fixèrent droit dans les yeux. Ils ne clignaient pas des yeux. C'était une situation réellement très inconfortable. Leurs nez étaient plats, et leurs bouches ressemblaient plus à une simple fente qu'à une bouche ordinaire...

Le fait que les pupilles des créatures rencontrées par Shirmer était "comme une fente" semble indiquer que ces créatures était probablement de nature plutôt reptilienne ou saurienne, de la même manière que la plupart des serpents, lézards, etc. possède des pupilles en forme de fente verticale. La correlation avec les reptiles que nous faisons avec les créatures rencontrées par l'officier Shirmer n'est pas basée sur son seul témoignage, mais aussi sur d'autres, provenant de diverses personnes ayant également recontré des créatures semblables à ceux venant d'être décrites. Beaucoup de ces récits établissent un lien plus définitif entre l'ancienne race reptilienne-saurienne qui disparu de la surface de cette planète il y a des années et les occupants d'ovnis non-humains rencontrés littéralement par des milliers d'individus. Ces cas seront traités plus tard dans ce document et dans d'autres.

Il semble, d'après les divers récits que nous avons pu réunir, que ces occupants d'ovnis sauriens ne ménagent pas leurs efforts pour se cacher, ou du moins cacher leur véritable nature. C'est presque comme s'ils essayaient, "à la manière d'un caméléon", de se faire passer pour des êtres humains afin de gagner l'assistance de certains humains dont l'aide serait considérée comme utile pour mener à bien leur agenda démoniaque. Peut-être ceci explique-t-il les "combinaisons argentées" cachant l'ensemble de leurs corps ormis leurs visages. Ceci serait-il en partie une tentative de dissimulation de leurs caractéristiques reptiliennes ?

Un rapport spécial du Crystal Ball Newsletter (P.O. Box 4080, Torrance, CA 90510) intitulé "Le Mystère du Barbier" (The Shaver Mystery) relate un incident tragique intervenu dans le Canada du sud. L'incident impliqua un groupe d'explorateurs qui se rendit dans une caverne où ils découvrirent, tout au fond, une chose étrange. Ils trouvèrent dans l'une des chambres de la caverne un conduit parfaitement cylindrique ayant apparemment été foré directement dans la roche, vers le bas. Le conduit était bien trop parfait pour avoir été le résultat d'un phénomène géologique naturel (des conduits semblables, d'ailleurs, ont été rencontrés dans de nombreuses autres cavernes de par le monde). Alors qu'ils étaient en train d'étudier le "forage", ils furent soudain et sans avertissement attaqués par des créatures d'environ 1,20 m ou peut-être un peu plus. Ces attaquants utilisèrent une sorte de rayon calorifique contre les explorateurs inattendus. Les créatures étaient semblables à la description faite de beaucoup des occupants liés aux rencontres d'ovnis ou les "gris" comme de nombreux ufologues les désignent aujourd'hui. L'un des témoins déclare que, lorsque l'attaque intervint, il fut assommé dans une niche isolée. Lorsqu'il "revient à lui", les autres explorateurs étaient soit morts, soit manquants. Il souffrait lui-même de méchantes brûlures ; celles-ci étaient en fait si graves qu'il en mourut quelques jours plus tard, mais fut auparavant capable de rejoindre péniblement un village proche et d'avertir les autres de se qui s'était passé. L'entrée de la caverne fut alors détruite à l'aide de dynamite afin d'empêcher quiconque d'y entrer à nouveau.