Chronologie du cas de Trans-en-Provence

Velasco, Jean-Jacques: Journal of Scientific Exploration, vol. 4, n° 1, 1990, p. 27, 1990

Le vendredi 9, les autorités policières de Draguignan (France) reçurent un appel téléphonique signalant une observation d'un phénomène aérien que l'auteur de l'observation n'avait pu identifier. De plus le témoin indiquait la présence de traces physiques au sol sur le site. Ces événements furent rapportés avoir eu lieu le jour précédent (jeudi 8 janvier) dans la ville voisine de Trans-en-Provence.

Les GEPAN, organisé au sein du CNES, eut connaissance du cas par la Gendarmerie le matin du lundi 12 janvier. Il fut appris que les autorités de maintien de l'ordre avaient relevé des échantillons de sol le jour du signalement. Comme il avait plu fortement tout le weekend, les enquêteurs du GEPAN décidèrent qu'il ne serait pas fructueux de se rendre sur le site immediatement. À la place, ils demandèrent un envoi rapide des échantillons recueillis le vendredi précédent.

Le GEPAN en apprit plus par la suite sur la nature des traces via un telex reçu l'après-midi du 12 janvier. Plusieurs groupes privés avaient également entendu parler du cas par la presse locale et s'étaient rendus sur le site. Un de leurs enquêteurs commença son étude le 13 janvier.